Un secret longtemps gardé…

Comment j’ai protégé mon enfant de son prédateur et de cette justice complice ?
En me cachant, pendant près d’une année, avec mes 5 enfants et mon mari. Cachés au fond d’une forêt, sans eau, sans électricité, sans aucune commodité. Cachés et sortis du système, pour protéger ma famille, avec le temps pour… sauver mon enfant à n’importe quel prix, pour que plus jamais son agresseur n’ait le pouvoir de s’approcher d’elle, pour que mon enfant puisse échapper à la folie, et tenter de tout faire pour qu’elle survive.

Faire face à ce tsunami, qui nous a tous avalés, et avec lequel nous avons dû nous débattre, pour garder la tête hors de l’eau. Un combat de chaque instant, qui nous aura plongés dans un monde où tout doit être calculé pour ne pas être « repéré ».
Cacher une famille avec 5 enfants demande énormément de sacrifices. Sacrifice d’une vie « normale », et du jour au lendemain, vient la question : Quel est le sens du mot normal, de cette normalité dans laquelle nous croyons vivre ? Sacrifice, devoir ou évidence ? Evidence, c’est le mot que j’ai choisi. Et pour ces Messieurs-Dames de la Justice, ce sera officiellement l’Etat de nécessité. Ce même Etat de nécessité qui fera que la Justice tentera jusqu’au bout de me faire plier, en prononçant un non-lieu en 2006 !

Attention, protégez vos enfants, si un pédophile est en liberté… Il va recommencer…

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Catherine