J’ai été contactée par Audrey dans le cadre de son mémoire, tourné vers la psychologie sociale au sein de l’Université Libre de Bruxelles. Ce dernier explore l’estime de soi et l’appartenance à un groupe de personnes. La population étudiée est celle de victimes de l’inceste ou proche(s) de victimes, participants ou ayant participées à un groupe de parole.

L’objectif de cette étude est de mettre en lumière les bienfaits des groupes de parole. Pour cela, ils ont créé un questionnaire, non-intrusif, totalement anonyme, afin de valider ou non, leurs hypothèses. ICI le lien donnant accès au questionnaire Google Forms

« Je tiens à préciser que les quelques retours obtenus sur ce questionnaire sont dans l’ensemble positifs et la passation n’a pas semblée être source d’angoisse pour eux. Pour avancer dans la recherche et mettre en lumière les groupes de parole, accepteriez-vous de divulguer ce questionnaire ? Cela m’aidera beaucoup.
Je vous remercie par avance du temps que vous m’accorderez.
Bien cordialement » 
Audrey Gauteur Esteves