Il y a quelques semaines j’ai écrit un post pour accueillir comme elle le méritait mon artiste intérieure qui œuvre à laisser mon enfant intérieure s’exprimer au-delà des mots.
Le lendemain, j’ai commencé à regarder des pages de magazines mises de côté, il y a quelques temps déjà, pour voir si quelque chose m’inspirait.
Comme d’hab, j’ai fait à l’instinct…
La tête de mort, puis le petit corps d’ourson gâteau, la bougie avec l’idée que ça pourrait être le chapeau de la tête, et puis le décor… ce couloir avec pour parois ces containers verrouillés… le motif d’un vieux papier peint des années 70… et cette bouche empêchée de parler par une basket… J’ai assemblé…

Et Tadaa !
Et puis, au moment où j’allais éteindre la lumière parce que j’allais me coucher, en voyant le collage d’un peu plus loin, j’ai été touchée comme si je recevais un message.
En m’endormant cette nuit-là, j’ai compris que ce collage était l’œuvre de la petite Anne, de mon enfant intérieure et j’ai ressenti beaucoup de joie car ce collage était la preuve que je pouvais recevoir les infos.
Bon, j’ai mis plus d’une semaine à trouver la « force » de le coller définitivement et une fois que je l’ai collé, j’ai compris qu’il fallait que je partage comment ce collage était apparu…
C’est seulement quand j’ai eu écrit ces quelques mots que j’ai pu trouver son titre : Message from childhood (Message de l’enfance)
Avec ce collage, mon enfant intérieure dit beaucoup de choses et quand je le regarde j’ai l’impression que je n’ai pas fini de comprendre tout ce que ce regard fleuri a à me dire et en même temps cette bougie qui apporte la lumière c’est plein d’espoir, n’est-ce pas ?